Épisode 7
A l’heure où blanchit la campagne !
Pas de repas sans plat de résistance, pas de cirque sans grand numéro, et pas d'Edouard sans Rosalie. Rosalie, petite brune, bien gaulée, super mignonne, rigolote à qui j'ai malheureusement tout fait. Reboosté par quelques aventures plutôt satisfaisantes, j'ai rompu mon propre pacte en ressortant avec une fille de ma fac… Grossière erreur.
Tout débuta le plus normalement du monde lors d'une soirée organisée par mon BDE. On discute, on rigole, on picole et en fin de soirée, je la ramène chez elle.
On reste dans la voiture pendant une heure, on rediscute, on re-rigole, et plus on parle, plus je sens que je vais gerber. Et je ne sais pas comment lui dire ça sans perdre la face vu que je ne l'avais pas encore embrassée. Je parle de moins en moins me concentre sur des points fixes, tente quelques approches jusqu'à qu'elle pose enfin sa bouche sur la mienne. L'émotion m'a fait gagner trois minutes. Je lui dis alors qu'il est tard et que je préfère qu'on en reste ici pour ce premier soir (très grande classe non ?). Un peu surprise, elle semble contente cependant de cette réaction. Elle m'embrasse, et là, l'émotion ne sert plus à rien, j'ai la glotte qui flotte. Elle sort de la voiture, je referme sa porte et démarre en trombe. Au premier feu rouge je m'arrête, ouvre ma portière détache ma ceinture et vomi un truc venu de l'enfer. À quelques secondes près on aurait partagé ce moment exigeant. À cet instant, je m'en sors plutôt pas mal...
La brioche de Potch !
Mais ça ne pouvait pas durer. Une semaine plus tard on se retrouve dans une soirée organisée chez elle, par ses colocataires. Tout se passe pour le mieux on ne se parle pas de la soirée et avant que je devienne débile et incapable de quoi que ce soit, elle m'embrasse puis s'éclipse dans sa chambre. Le temps de partager quelques bouteilles avec des amis je me rends dans la chambre pour lui souhaiter la bonne nuitée. On s'embrasse gentiment, et elle me demande de rester.
Je reste et voilà qu'elle m'enlève le slip et qu'elle me touche le sexe ! JE ME DEMANDE BIEN CE QU'ELLE ME VEUT CELLE LA ?? On continue à s'embrasser et à se caresser. Pendant au moins deux heures, je ne savais pas trop quoi faire, ivre, mort de fatigue, et avec pour seul bruit de fond la fin de soirée où mes amis n'ont rien trouvé de mieux à faire que de reformer le groupe STOMP en créant des rythmes avec tous les objets du salon, il est 5h33.
Un quart d'heure plus tard je craque. Deux heures à se faire toucher la bite au bout d'un moment ça donne des idées. J'enfile une capote goût fraise et me met en position. Il est 5h46. Je fais un nœud au K-way et m'endors comme une merde. Il est... 5h47. Oui après deux va-et-viens, j'ai joui sur sa cuisse en l'embrassant sur la joue. Je crois que Barry White, le juge du Guinness book des records a essayé de m'appeler le lendemain. Pour faire court, et c'est d'ailleurs ce que j'ai fait, on peut dire que je lui ai fait le pitch d'une nuit de folie avec moi. Elle a eu le début, une très brève idée de l'intrigue et surtout la fin. Je n'ai même pas eu le temps de m'excuser puisque j'ai ronflé immédiatement après. Cette histoire me poursuit encore aujourd'hui, et m'a été racontée comme une blague à plusieurs reprises par des gens qui ignoraient que le mec en question c'était moi. Je me suis excusé et rattrapé tant bien que mal auprès de Rosalie, je vous rassure.
A l’heure où blanchit la campagne !
Pas de repas sans plat de résistance, pas de cirque sans grand numéro, et pas d'Edouard sans Rosalie. Rosalie, petite brune, bien gaulée, super mignonne, rigolote à qui j'ai malheureusement tout fait. Reboosté par quelques aventures plutôt satisfaisantes, j'ai rompu mon propre pacte en ressortant avec une fille de ma fac… Grossière erreur.
Tout débuta le plus normalement du monde lors d'une soirée organisée par mon BDE. On discute, on rigole, on picole et en fin de soirée, je la ramène chez elle.
On reste dans la voiture pendant une heure, on rediscute, on re-rigole, et plus on parle, plus je sens que je vais gerber. Et je ne sais pas comment lui dire ça sans perdre la face vu que je ne l'avais pas encore embrassée. Je parle de moins en moins me concentre sur des points fixes, tente quelques approches jusqu'à qu'elle pose enfin sa bouche sur la mienne. L'émotion m'a fait gagner trois minutes. Je lui dis alors qu'il est tard et que je préfère qu'on en reste ici pour ce premier soir (très grande classe non ?). Un peu surprise, elle semble contente cependant de cette réaction. Elle m'embrasse, et là, l'émotion ne sert plus à rien, j'ai la glotte qui flotte. Elle sort de la voiture, je referme sa porte et démarre en trombe. Au premier feu rouge je m'arrête, ouvre ma portière détache ma ceinture et vomi un truc venu de l'enfer. À quelques secondes près on aurait partagé ce moment exigeant. À cet instant, je m'en sors plutôt pas mal...
La brioche de Potch !
Mais ça ne pouvait pas durer. Une semaine plus tard on se retrouve dans une soirée organisée chez elle, par ses colocataires. Tout se passe pour le mieux on ne se parle pas de la soirée et avant que je devienne débile et incapable de quoi que ce soit, elle m'embrasse puis s'éclipse dans sa chambre. Le temps de partager quelques bouteilles avec des amis je me rends dans la chambre pour lui souhaiter la bonne nuitée. On s'embrasse gentiment, et elle me demande de rester.
Je reste et voilà qu'elle m'enlève le slip et qu'elle me touche le sexe ! JE ME DEMANDE BIEN CE QU'ELLE ME VEUT CELLE LA ?? On continue à s'embrasser et à se caresser. Pendant au moins deux heures, je ne savais pas trop quoi faire, ivre, mort de fatigue, et avec pour seul bruit de fond la fin de soirée où mes amis n'ont rien trouvé de mieux à faire que de reformer le groupe STOMP en créant des rythmes avec tous les objets du salon, il est 5h33.
Un quart d'heure plus tard je craque. Deux heures à se faire toucher la bite au bout d'un moment ça donne des idées. J'enfile une capote goût fraise et me met en position. Il est 5h46. Je fais un nœud au K-way et m'endors comme une merde. Il est... 5h47. Oui après deux va-et-viens, j'ai joui sur sa cuisse en l'embrassant sur la joue. Je crois que Barry White, le juge du Guinness book des records a essayé de m'appeler le lendemain. Pour faire court, et c'est d'ailleurs ce que j'ai fait, on peut dire que je lui ai fait le pitch d'une nuit de folie avec moi. Elle a eu le début, une très brève idée de l'intrigue et surtout la fin. Je n'ai même pas eu le temps de m'excuser puisque j'ai ronflé immédiatement après. Cette histoire me poursuit encore aujourd'hui, et m'a été racontée comme une blague à plusieurs reprises par des gens qui ignoraient que le mec en question c'était moi. Je me suis excusé et rattrapé tant bien que mal auprès de Rosalie, je vous rassure.
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