Episode 3
« Y'en a un peu plus ! Je laisse ? »
Les deux relations suivantes furent à peu près normales, et vous l'avouerez deux sur quinze même au Loto ça ne rapporte pas des masses. Pendant ces deux années de relâche du « Popol Circus » j'ai pu développer mes talents, assimiler de nouvelles techniques qui ont ravi le puceau qui sommeillait en moi. Une période sans réel scandale en dehors des désormais célèbres jets de matière blanche incontrôlés qui finissent leurs courses soit dans ma bouche soit sur le front de mes partenaires ou encore la découverte des joies du plein air et de leurs inconvénients. Dans le désordre on se souvient des toilettes de boîte de nuit pendant des soirées étudiantes à une heure de la fermeture, je vous laisse imaginer l’odeur et la déco de la pièce exigu. Les plages quasi désertes où l'on ne sait plus très bien pourquoi on a eu envie tant l'impression de mettre son sexe dans une pâte sablée à tendance laine de verre vous envahis. L'amour ivre mort également où le moindre mouvement vous fait regarder au bas du lit pour trouver l'endroit le plus approprié pour y déposer la tourte au vin qui vous pèse sur l'estomac. Les fameux concours de pets créés dans le but de détendre l'atmosphère et parfait pour renforcer la complicité, concours qui furent abolis après ma première défaite. À partir de ce jour ce fut assez difficile pour moi de considérer les filles comme des princesses. Non, tout a commencé à vraiment partir en couille le jour où j'ai décidé que je ne resterai plus aussi longtemps avec une fille.
Les évènements qui suivent se sont réellement déroulés, et aussi invraisemblable que ça puisse paraître... Le mec c'est moi. Et le prénom des filles est évidemment blablabla…
En plein vol
Nous sommes en 2003, je débute ma vie de célibataire à long terme, bien décidé à rattraper mes années de disettes. La première de cette série aurait pu jeter un froid si je ne m'étais renseigné par la suite, et comme on dit dans les émissions de gags vidéo : « Aucun des participants n'a été réellement blessés durant le tournage...». Nous l'appellerons Micheline. Je terminais une formation quand je l'ai rencontrée. Petite blonde plantureuse, un peu chef de bande, un peu tarée, tout ce que j'aime, il m'a fallu deux semaines pour sortir avec elle. Elle me répétait à chacun de nos rendez-vous qu'elle manquait d'expérience, ce qui me convenait parfaitement puisque remonté par mes deux années de succès j'étais ultra confiant et me voyais déjà partager mon menu savoir avec cette bombe... S'il n'y avait pas eu le drame évidemment. Tout se passait plutôt bien jusqu'au soir où, après un simple ciné, je proposais de la ramener à la maison pour faire plus ample connaissance. Tout se déroulait à merveille nous étions nus dans le lit, j'étais comme un orphelin à Noël qui reçoit deux frères, des jumeaux, sublimes, immenses, du E. L'excitation à son comble je réalise que mes capotes sont dans la voiture. Je l'embrasse langoureusement et lui susurre à l'oreille de ne pas bouger pendant que je vais chercher mon déguisement. Je me lève à toute vitesse enfile un caleçon sur une gaule de fort bon aloi, trouve de vielles Timberland et je passe un imperméable à la Colombo. Je me jette dans l'escalier passe devant ma sœur et ses amis qui donnaient une petite fête chez moi. Ils me prennent juste pour un grand malade, normal et je m'en fous. Je cours jusqu'à la voiture, croise évidemment des dizaines de personnes qui sortaient du seul bar de ma rue qui est à peu près la plus déserte de la ville en temps normal. Je trouve les préservatifs et remonte en courant dans ma chambre. Je fracasse ma porte l'imper ouvert, toujours en érection, la boîte à la main et un sourire de deux mètres de large sur la gueule. Et là... Vous avez déjà pris une douche froide après une heure dans un sauna ? Moi ça m'est arrivé et c'est juste l'effet que ça m'a fait. Je l'ai vu, toujours nue, assise dans mon lit, la tête entre ses jambes pliées, les bras croisés autour de ses genoux et en larmes. Un million de questions m'ont traversé l'esprit mais pas la bonne. Réalisant assez rapidement que ce que je tenais dans la main ne servirait pas tout de suite, je me suis avancé vers elle, plus calmement que le saut initialement prévu. Et là, Micheline s'est mise à me raconter sa vie pendant six heures de sa première et unique expérience qui fût une calamité à son ex copain avec qu'elle aimait toujours visiblement...Vous avez déjà essayé de faire le psy en imper burberry, calebute et Timberland ?
« Y'en a un peu plus ! Je laisse ? »
Les deux relations suivantes furent à peu près normales, et vous l'avouerez deux sur quinze même au Loto ça ne rapporte pas des masses. Pendant ces deux années de relâche du « Popol Circus » j'ai pu développer mes talents, assimiler de nouvelles techniques qui ont ravi le puceau qui sommeillait en moi. Une période sans réel scandale en dehors des désormais célèbres jets de matière blanche incontrôlés qui finissent leurs courses soit dans ma bouche soit sur le front de mes partenaires ou encore la découverte des joies du plein air et de leurs inconvénients. Dans le désordre on se souvient des toilettes de boîte de nuit pendant des soirées étudiantes à une heure de la fermeture, je vous laisse imaginer l’odeur et la déco de la pièce exigu. Les plages quasi désertes où l'on ne sait plus très bien pourquoi on a eu envie tant l'impression de mettre son sexe dans une pâte sablée à tendance laine de verre vous envahis. L'amour ivre mort également où le moindre mouvement vous fait regarder au bas du lit pour trouver l'endroit le plus approprié pour y déposer la tourte au vin qui vous pèse sur l'estomac. Les fameux concours de pets créés dans le but de détendre l'atmosphère et parfait pour renforcer la complicité, concours qui furent abolis après ma première défaite. À partir de ce jour ce fut assez difficile pour moi de considérer les filles comme des princesses. Non, tout a commencé à vraiment partir en couille le jour où j'ai décidé que je ne resterai plus aussi longtemps avec une fille.
Les évènements qui suivent se sont réellement déroulés, et aussi invraisemblable que ça puisse paraître... Le mec c'est moi. Et le prénom des filles est évidemment blablabla…
En plein vol
Nous sommes en 2003, je débute ma vie de célibataire à long terme, bien décidé à rattraper mes années de disettes. La première de cette série aurait pu jeter un froid si je ne m'étais renseigné par la suite, et comme on dit dans les émissions de gags vidéo : « Aucun des participants n'a été réellement blessés durant le tournage...». Nous l'appellerons Micheline. Je terminais une formation quand je l'ai rencontrée. Petite blonde plantureuse, un peu chef de bande, un peu tarée, tout ce que j'aime, il m'a fallu deux semaines pour sortir avec elle. Elle me répétait à chacun de nos rendez-vous qu'elle manquait d'expérience, ce qui me convenait parfaitement puisque remonté par mes deux années de succès j'étais ultra confiant et me voyais déjà partager mon menu savoir avec cette bombe... S'il n'y avait pas eu le drame évidemment. Tout se passait plutôt bien jusqu'au soir où, après un simple ciné, je proposais de la ramener à la maison pour faire plus ample connaissance. Tout se déroulait à merveille nous étions nus dans le lit, j'étais comme un orphelin à Noël qui reçoit deux frères, des jumeaux, sublimes, immenses, du E. L'excitation à son comble je réalise que mes capotes sont dans la voiture. Je l'embrasse langoureusement et lui susurre à l'oreille de ne pas bouger pendant que je vais chercher mon déguisement. Je me lève à toute vitesse enfile un caleçon sur une gaule de fort bon aloi, trouve de vielles Timberland et je passe un imperméable à la Colombo. Je me jette dans l'escalier passe devant ma sœur et ses amis qui donnaient une petite fête chez moi. Ils me prennent juste pour un grand malade, normal et je m'en fous. Je cours jusqu'à la voiture, croise évidemment des dizaines de personnes qui sortaient du seul bar de ma rue qui est à peu près la plus déserte de la ville en temps normal. Je trouve les préservatifs et remonte en courant dans ma chambre. Je fracasse ma porte l'imper ouvert, toujours en érection, la boîte à la main et un sourire de deux mètres de large sur la gueule. Et là... Vous avez déjà pris une douche froide après une heure dans un sauna ? Moi ça m'est arrivé et c'est juste l'effet que ça m'a fait. Je l'ai vu, toujours nue, assise dans mon lit, la tête entre ses jambes pliées, les bras croisés autour de ses genoux et en larmes. Un million de questions m'ont traversé l'esprit mais pas la bonne. Réalisant assez rapidement que ce que je tenais dans la main ne servirait pas tout de suite, je me suis avancé vers elle, plus calmement que le saut initialement prévu. Et là, Micheline s'est mise à me raconter sa vie pendant six heures de sa première et unique expérience qui fût une calamité à son ex copain avec qu'elle aimait toujours visiblement...Vous avez déjà essayé de faire le psy en imper burberry, calebute et Timberland ?
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