Episode 10
Pipo
Peu de temps après je décidais de mettre à profit tous mes échecs passés pour enfin, au moins une fois dans ma vie, passer une nuit de sexe correcte.
Avant de sortir donc, je m'étais enfilé deux litres de café, j'avais posé une boîte de capotes sur ma table de nuit, vérifié les antécédents de la fille, évité les plats trop riches et tout évacué avant de sortir, j'avais trouvé de la Ventoline, au cas où, je m'étais branlé, parfumé et bien sapé.
Arrivé à la fête j'avais pris l'option de passer une bonne soirée sans finir minable. Je m'amuse, je commets quelques blagues et subit quelques gaudrioles. Et j'attaque ma parade nuptiale. J'ai dû la draguer pendant, pff…, bien seize secondes :
« Moi j'y vais...
- Je te raccompagne !
- Ok ! ».
Et on s'embrasse pendant que je la ramène chez moi. C'est un peu la classe de raconter ça. Mais je vous assure que normalement j'en chie et là j'en étais le premier étonné. Tout allait donc pour le mieux, j'étais monté super fin. Rien n'avait cloché pour le moment. On s'allonge, on s'embrasse, on s'excite.
Elle se met à m'embrasser le cou, puis le torse, puis le ventre, dépasse le nombril… À cet instant précis j'ai fermé les yeux et j'ai commencé à sourire comme à peu près tous les mecs je pense.
Elle débuta sa noble initiative par de timides coups de langue très efficace. Quand soudain j'ai ressenti la douleur la plus intense de ma vie dans cette région de mon anatomie. Elle m'avait pris pour un milk-shake, dont la paille aurait naturellement été mon sexe. Elle s'est littéralement mise à m'aspirer. La douleur atteignait un tel point, qu'un doigt entre les dents pour ne pas hurler et un poing en l'air prêt à l'assommer, j’ai ouvert un œil, simplement histoire de vérifier que ma bite ne s'était pas transformée en Mickey Mouse, tellement j'avais l'impression que mes couilles étaient remontées jusqu'au sommet de mon sexe.
Je me suis mis à lui tirer doucement les cheveux pour la stopper, elle a relevé la tête et s'est étonnée de voir couler deux grosses larmes sur mes joues.
Paralysé par la douleur, je ne savais pas trop quoi dire et bien que l'idée m'ait effleurée, je me voyais assez mal lui hurler qu'elle suçait comme une chèvre et qu'il fallait être la fille de personne pour faire ça à un mec.
Il m'a fallu une bonne partie de la nuit pour que mon sexe retrouve sa sensibilité, si bien que je n'ai commencé à prendre du plaisir que deux heures après le début du coït. Au petit matin, je me suis endormi en la laissant morte et béate. Elle a filé le lendemain avec la démarche caractéristique du cow-boy fourbu, et depuis je n'ai pas cherché à reprendre contact, étonnant ?
Pipo
Peu de temps après je décidais de mettre à profit tous mes échecs passés pour enfin, au moins une fois dans ma vie, passer une nuit de sexe correcte.
Avant de sortir donc, je m'étais enfilé deux litres de café, j'avais posé une boîte de capotes sur ma table de nuit, vérifié les antécédents de la fille, évité les plats trop riches et tout évacué avant de sortir, j'avais trouvé de la Ventoline, au cas où, je m'étais branlé, parfumé et bien sapé.
Arrivé à la fête j'avais pris l'option de passer une bonne soirée sans finir minable. Je m'amuse, je commets quelques blagues et subit quelques gaudrioles. Et j'attaque ma parade nuptiale. J'ai dû la draguer pendant, pff…, bien seize secondes :
« Moi j'y vais...
- Je te raccompagne !
- Ok ! ».
Et on s'embrasse pendant que je la ramène chez moi. C'est un peu la classe de raconter ça. Mais je vous assure que normalement j'en chie et là j'en étais le premier étonné. Tout allait donc pour le mieux, j'étais monté super fin. Rien n'avait cloché pour le moment. On s'allonge, on s'embrasse, on s'excite.
Elle se met à m'embrasser le cou, puis le torse, puis le ventre, dépasse le nombril… À cet instant précis j'ai fermé les yeux et j'ai commencé à sourire comme à peu près tous les mecs je pense.
Elle débuta sa noble initiative par de timides coups de langue très efficace. Quand soudain j'ai ressenti la douleur la plus intense de ma vie dans cette région de mon anatomie. Elle m'avait pris pour un milk-shake, dont la paille aurait naturellement été mon sexe. Elle s'est littéralement mise à m'aspirer. La douleur atteignait un tel point, qu'un doigt entre les dents pour ne pas hurler et un poing en l'air prêt à l'assommer, j’ai ouvert un œil, simplement histoire de vérifier que ma bite ne s'était pas transformée en Mickey Mouse, tellement j'avais l'impression que mes couilles étaient remontées jusqu'au sommet de mon sexe.
Je me suis mis à lui tirer doucement les cheveux pour la stopper, elle a relevé la tête et s'est étonnée de voir couler deux grosses larmes sur mes joues.
Paralysé par la douleur, je ne savais pas trop quoi dire et bien que l'idée m'ait effleurée, je me voyais assez mal lui hurler qu'elle suçait comme une chèvre et qu'il fallait être la fille de personne pour faire ça à un mec.
Il m'a fallu une bonne partie de la nuit pour que mon sexe retrouve sa sensibilité, si bien que je n'ai commencé à prendre du plaisir que deux heures après le début du coït. Au petit matin, je me suis endormi en la laissant morte et béate. Elle a filé le lendemain avec la démarche caractéristique du cow-boy fourbu, et depuis je n'ai pas cherché à reprendre contact, étonnant ?
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