Episode 5.
La Pelle au bois dormant
Afin de tenir mon engagement, juste histoire de faire une pause dans les blagues de potaches que je provoquais au lendemain de Mireille, j'ai décidé de limiter mon territoire de chasse à toute la planète sauf ma fac. Cette précaution n'a pas servit à grand-chose tant mon potentiel de loose est sans limite. C'était lors d'une soirée, placée sous le signe de la grosse caisse entre amis que je suis sorti avec une fille dégotée dans la seule boite où il est interdit de choper tellement c'est crade*. Et bien j'ai chopé à la fermeture de ce club, une gothique, enfin je crois, mon niveau d'alcoolémie flirtait sensiblement avec le taux létal des 3 grammes ce soir-là. Les amis avec qui je me trouvais ayant fait de même je trouvais normal que nous allions nous finir au rosé chez moi. La soirée se déroulant plutôt bien, je finis par me retrouver seul avec Gothika dans mon lit. Après un renvoi très chargé dans les toilettes et un brossage succin des dents, je décidais de l'honorer comme une princesse. Quelques caresses et baisers plus tard, je me suis mis à descendre ostensiblement à la cave, afin de réaliser le cunni de l'année. Je la sentais hoqueter sous mes coups de langues, quand quelques instants plus tard, enfin pour moi, j'ai senti quelque chose qui tapotait sur le haut de mon crâne. J'ai rouvert les yeux, et la à ma grande surprise, j'avais la tête coincée entre deux jambes, le nez planté dans des poils pubiens d'une noirceur infernale. J'ai redressé la tête, et là j'ai redécouvert Gothika sous un nouveau jour. Elle fixait froidement mes yeux mi-clos et s'est mise à me hurler dessus : « Mais qu'est que tu branles, ça fait dix minutes que tu ronfles là !!!! ». Je m'étais endormie en plein cunni, comme une petite crotte. Et s'il est vrai qu'après une sieste il n'est pas rare de se retrouver avec l'empreinte de l'oreiller sur la joue, je n'ose imaginer la forme de la marque qu'il y avait sur la mienne. Ça devait se voir comme un sexe au milieu de la figure. Plus de nouvelles de Gothika.
* La Lune dans le caniveau à Bordeaux
La Pelle au bois dormant
Afin de tenir mon engagement, juste histoire de faire une pause dans les blagues de potaches que je provoquais au lendemain de Mireille, j'ai décidé de limiter mon territoire de chasse à toute la planète sauf ma fac. Cette précaution n'a pas servit à grand-chose tant mon potentiel de loose est sans limite. C'était lors d'une soirée, placée sous le signe de la grosse caisse entre amis que je suis sorti avec une fille dégotée dans la seule boite où il est interdit de choper tellement c'est crade*. Et bien j'ai chopé à la fermeture de ce club, une gothique, enfin je crois, mon niveau d'alcoolémie flirtait sensiblement avec le taux létal des 3 grammes ce soir-là. Les amis avec qui je me trouvais ayant fait de même je trouvais normal que nous allions nous finir au rosé chez moi. La soirée se déroulant plutôt bien, je finis par me retrouver seul avec Gothika dans mon lit. Après un renvoi très chargé dans les toilettes et un brossage succin des dents, je décidais de l'honorer comme une princesse. Quelques caresses et baisers plus tard, je me suis mis à descendre ostensiblement à la cave, afin de réaliser le cunni de l'année. Je la sentais hoqueter sous mes coups de langues, quand quelques instants plus tard, enfin pour moi, j'ai senti quelque chose qui tapotait sur le haut de mon crâne. J'ai rouvert les yeux, et la à ma grande surprise, j'avais la tête coincée entre deux jambes, le nez planté dans des poils pubiens d'une noirceur infernale. J'ai redressé la tête, et là j'ai redécouvert Gothika sous un nouveau jour. Elle fixait froidement mes yeux mi-clos et s'est mise à me hurler dessus : « Mais qu'est que tu branles, ça fait dix minutes que tu ronfles là !!!! ». Je m'étais endormie en plein cunni, comme une petite crotte. Et s'il est vrai qu'après une sieste il n'est pas rare de se retrouver avec l'empreinte de l'oreiller sur la joue, je n'ose imaginer la forme de la marque qu'il y avait sur la mienne. Ça devait se voir comme un sexe au milieu de la figure. Plus de nouvelles de Gothika.
* La Lune dans le caniveau à Bordeaux
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