Episode 4.
« La panne »
Dans toute histoire il faut désacraliser le héros, et pour le coup ça ne va être trop dur. Comme une vielle prostituée j'ai mes hauts (en dentelles) et mes bas (troués). Oui je crois que le copyright est de Bigard. On va se pencher sur les bas donc. Après Micheline, je suis entré dans un état que cliniquement on appelle la phase « caniche ». Cycle qui peut se résumer par une envie de sauter tout le monde, et l'image du vieux caniche de famille se frottant à tous les mollets passant à sa portée symbolise à merveille ce comportement. C'est à ce moment la que j'ai rencontré Mireille. Ah Mireille ! Rousse, de grands yeux bleus, 1.80m, un visage d'ange, un physique de mannequin venu du froid et elle m'embrasse. Situation idéale me direz-vous. Idéal à un détail près, je n'étais pour l'instant sorti qu'avec des filles dotées d'arguments de poids (des seins énormes évidemment), et là, Mireille comme toute fille à la taille mannequin se rapprochait plus du cintre que des nanas à la générosité débordante habituellement côtoyées. Quel ne fut pas mon choc quand une fois nu, je lançais mes mains sur sa peau immaculée, et qu'entre son nombril et son menton, rien ne fit obstacle à ma progression. J'étais face à un vrai 85A voir moins. Mon début d'érection stoppa immédiatement et même son visage d'ange ne parvint pas à faire remonter la pression. Je fis une tentative par pitié pour moi sachant que le lendemain, tous les étudiants de ma fac seraient au courant. Après avoir enfilé, non sans mal, une capote, je m'efforçais à faire rentrer le peu de ce qui était dur dans ce qui était mou… Sans succès. Cette petite expérience m'a valu quelques belles situations par la suite. Chacune de mes entrées dans le bureau des élèves était succédée par des « Oh la ! Qu'est ce que je suis mou aujourd'hui ! », ou encore des « Pas trop dur ce matin ? Ah non pas pour toi ! ». Tout ça proféré par des amis qui plus est. Peu après je me suis concentré sur les filles qui n'étaient pas dans ma fac, allez savoir pourquoi ?"
« La panne »
Dans toute histoire il faut désacraliser le héros, et pour le coup ça ne va être trop dur. Comme une vielle prostituée j'ai mes hauts (en dentelles) et mes bas (troués). Oui je crois que le copyright est de Bigard. On va se pencher sur les bas donc. Après Micheline, je suis entré dans un état que cliniquement on appelle la phase « caniche ». Cycle qui peut se résumer par une envie de sauter tout le monde, et l'image du vieux caniche de famille se frottant à tous les mollets passant à sa portée symbolise à merveille ce comportement. C'est à ce moment la que j'ai rencontré Mireille. Ah Mireille ! Rousse, de grands yeux bleus, 1.80m, un visage d'ange, un physique de mannequin venu du froid et elle m'embrasse. Situation idéale me direz-vous. Idéal à un détail près, je n'étais pour l'instant sorti qu'avec des filles dotées d'arguments de poids (des seins énormes évidemment), et là, Mireille comme toute fille à la taille mannequin se rapprochait plus du cintre que des nanas à la générosité débordante habituellement côtoyées. Quel ne fut pas mon choc quand une fois nu, je lançais mes mains sur sa peau immaculée, et qu'entre son nombril et son menton, rien ne fit obstacle à ma progression. J'étais face à un vrai 85A voir moins. Mon début d'érection stoppa immédiatement et même son visage d'ange ne parvint pas à faire remonter la pression. Je fis une tentative par pitié pour moi sachant que le lendemain, tous les étudiants de ma fac seraient au courant. Après avoir enfilé, non sans mal, une capote, je m'efforçais à faire rentrer le peu de ce qui était dur dans ce qui était mou… Sans succès. Cette petite expérience m'a valu quelques belles situations par la suite. Chacune de mes entrées dans le bureau des élèves était succédée par des « Oh la ! Qu'est ce que je suis mou aujourd'hui ! », ou encore des « Pas trop dur ce matin ? Ah non pas pour toi ! ». Tout ça proféré par des amis qui plus est. Peu après je me suis concentré sur les filles qui n'étaient pas dans ma fac, allez savoir pourquoi ?"
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